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Le vaginisme

La moindre tentative de pénétration vous fait souffrir – quand elle est possible ! A chaque fois c’est le même scénario : vous êtes prise d’une peur panique, vous resserrez vos jambes et les muscles de votre vagin se contractent interdisant toute pénétration sinon douloureuse. Le gynécologue lui-même a d’ailleurs beaucoup de mal à pratiquer les examens les plus courants. C’est le vaginisme. Vaginismes primaire et secondaire On distingue traditionnellement deux type de vaginisme. Le vaginisme primaire et le vaginisme secondaire. Le vaginisme est dit primaire lorsque il s’est développé dès les premiers rapports sexuels. Il faut en chercher les causes dans le rapport que la personne atteinte entretient avec son propre corps. Avoir une sexualité épanouie c’est connaître son corps et l’accepter. La plupart des personnes victime de vaginisme primaire témoigne en effet d’une méconnaissance d’elle même et des ressorts de leur plaisir sexuel. Au fil du temps elles se sont ainsi forgée une image déformée de leur organes génitaux – vagin étroit ou hymen en obstruant l’entrée – leur faisant redouter toute pénétration. Des raisons culturelles peuvent également être invoquées : la transmission d’une image culpabilisante de la sexualité ou une éducation trop rigoureuse par exemple. Le rôle du thérapeute est alors de restaurer une représentation positive de corps et du plaisir sexuel. Le vaginisme est dit secondaire lorsqu’il se développe subitement à l’âge adulte. L’impossibilité du rapport sexuel est du à la crainte de la douleur et non forcément à une angoisse de la pénétration. Une ou plusieurs expériences douloureuses sont généralement à l’origine du développement de cette peur réflexe. Le développement du vaginisme secondaire est généralement lié à un choc affectif, une violence sexuelle, la survenue d’une maladie sexuellement transmissible ou un partenaire maladroit…. Les soins Si vous êtes dans cette situation et que le gynécologue n’a effectivement pas détecté de troubles organiques consultez un sexologue. Vous serez invitée à découvrir ou redécouvrir votre propre corps par le toucher vaginal. Geste que vous devrez reproduire chez vous. C’est une façon d’intégrer le fait que la pénétration peut se dérouler sans douleur quand il n’y a pas de tension musculaire. Le cas échéant n’hésitez pas à faire appel à un psychanalyste. Prendre conscience ou reprendre conscience de son corps et des tensions qui le traversent (contraction vaginale) et un travail de longue haleine. Apprivoiser ou redécouvrir le corps de votre partenaire, «s’approprier son pénis» peut s’avérer être une étape importante sur le chemin de la restauration de la confiance nécessaire à l’épanouissement sexuel. Son implication est d’ailleurs généralement sollicitée par le thérapeute. Une fois prête pour la pénétration, préférez la position où vous êtes sur votre partenaire de façon à pouvoir contrôler la situation ! Pour en savoir plus Le site Sexoconseil http://www.sexoconseil.com/sexologie/vaginisme/ Le site Doctissimo http://www.doctissimo.fr/html/sexualite/femmes/se_259_vagini.htm

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